Le messager de la mort

Journaliste spécialisé dans les affaires les plus délicates, Garret Smith s’intéresse à un carnage perpétré dans une communauté mormone d’Arizona. Les victimes : les femmes et enfants d’une seule et même grande famille. Si les premières constatations de la police indiquent que les meurtres ont été commis sous prétexte de religion, Smith n’y croit guère. Au péril de sa  vie, il découvre peu à peu que la vérité est ailleurs.

MASSACRE CHEZ LES MORMONS

• Tout auréolé d’une légende forgée avec notamment Il Était une fois dans l’Ouest, Le Passager de la pluie et Un Justicier dans la ville, un Charles Bronson impérial, fidèle à lui-même.
• Un thriller qui commence fort avec un massacre commis dans une ferme isolée. Un impressionnant morceau de bravoure.
• Le style robuste et sans fioriture de Jack Lee Thompson, le réalisateur des Canons de Navarone, des Nerfs à vif, de La Conquête de la planète des singes et de Passeur d’hommes.
• Ça marche si bien entre Jack Lee Thompson et Charles Bronson qu’ils tournent également ensemble Monsieur St-Ives, Le Bison Blanc, Cabo Blanco, Le Justicier de minuit, L’Enfer de la violence, La Loi de Murphy, Le Justicier braque les dealers et Kinjite, sujets tabous.
• Une production Cannon Group, une firme qui, dans les années 1980, se distingue surtout dans le film d’action, avec principalement Delta Force, American Warrior, Le Ninja blanc, Portés disparus, Bloodsport, Over the top avec Sylvester Stallone et de nombreux Charles Bronson.
• À l’instar de Witness animé par Harrison Ford, Le Messager de la mort se déroule au sein d’une communauté religieuse, en l’occurrence les Mormons.
• Les plus cinéphiles pourront savourer la présence de deux vieilles gloires hollywoodiennes : John Ireland (La Rivière Rouge, Spartacus) et Jeff Corey (Little Big Man, Le Kid de Cincinatti).