Californie en flammes

• Un film si rare que certains cinéphiles le recherchent depuis une trentaine d'années!

• La prestance et le charisme de Cornel Wilde, un comédien qui se distingue tour à tour dans le film noir (High Sierra, Pêché Mortel), le polar (The Big Combo), le mélodrame à grand spectacle (Ambre) et le grand spectacle tout court (Sous le plus grand chapiteau du monde).

• Un film qui se situe au carrefour du cinéma d'aventure de cape et d'épée à la Zorro et du western classique.

• Un solide divertissement qui, bien que romanesque, s'appuie sur la réalité historique de l'entrée de la Californie dans le giron des États-Unis alors en pleine composition.

• Tout le métier et le savoir faire de Lew Landers, un réalisateur qui, dans un même style nerveux, touche au western (La Hache de la vengeance, Le Pic de la mort), à lépouvante (Le Masque de Dijon, The Return of the vampire), au film de guerre (Le Sillage de la mort) et au film noir (J'ai vécu deux fois).

• Apte à manier colt et arme blanche avec dextérité, un personnage féminin fort incarné par l'irrésistible Teresa Wright, une actrice remarquée chez Alfred Hitchcock (L'Ombre d'un doute), Fred Zinnemann (C'était des hommes), Raoul Walsh (La Vallée de la peur) et William Wyler (Les Plus belles années de notre vie).

• Des images qui doivent beaucoup de leur éclat à un Technicolor flamboyant.