• La rencontre de deux géants du western : Glenn Ford (3 h 10 pour Yuma, Cow-boy, La Vallée de la poudre) et William Holden (Les Cavaliers, Alvarez Kelly, La Horde sauvage).
• Un grand réalisateur : Henry Levin, auteur de notamment Voyage au centre de la Terre, Gengis Khan et, dans le domaine du western, de Jicob le proscrit qu’interprètent Jack Palance et Anthony Perkins.
• Un immense scénariste en la personne de Borden Chase, une personnalité majeure du western dont les réussites dans le genre ne se comptent plus, de Winchester 73 à La Rivière Rouge en passant par Les Affameurs, Vera Cruz et Coups de fouet en retour.
• La personnalité, la beauté et le charme d’Ellen Drew, une comédienne très active dans le western avec surtout Le Baron de l’Arizona deSamuel Fuller, Le Cavalier de la mort d’André de Toth, ainsi que Les Rebelles du Missouri de Gordon Douglas.
• Si, fort d’un superbe technicolor et d’un budget plus important que celui de la moyenne des westerns de l’époque, La Peine du Talion assure le spectacle, il aborde également les traumatismes de guerre, thème qui ajoute encore à son intensité dramatique.
• La contribution non négligeable d’un solide second couteau du western : Edgar Buchanan, un comédien également remarqué dans L’Homme des vallées perdues, Coups de feu dans la sierra, Les Comancheros et L’Attaque la malle-poste.