• La stature d’une authentique icône hollywoodienne, Charlton Heston, l’interprète mythique des Dix commandements, de Ben-Hur, La Soif du mal, Le Cid, La Planète des singes et Soleil Vert.
• Un film qui doit sa réussite au tandem que forment le réalisateur Byron Haskin et le producteur George Pal qui, auparavant réunis sur La Guerre des mondes, tournent séparément Le Choc des mondes, La Machine à explorer le temps, Robinson Crusoé sur Mars et L’Île au trésor.
• Un scénario qui repose sur un événement scientifiquement avéré : la Marabunta, un mot espagnol désignant la migration massive et destructrice de fourmis légionnaires dans les forêts tropicales.
• Un remarquable box-office France de 2,1 millions de spectateurs dans les salles obscures.
• Le glamour et le fort tempérament d’Eleanor Parker, une comédienne également remarquée dans Scaramouche, La Vallée des rois, L’Homme aux bras d’or, Le Roi et quatre reines, ainsi que dans La Mélodie du bonheur.
• Dans le rôle du gouverneur Clayton, un second couteau familier en la personne de William Conrad qui, après avoir figuré dans de nombreux films (Les Tueurs, Le Conquérant, La Chevauchée du retour), connait la célébrité avec les séries policières Cannon et La Loi est la loi.
• Des effets spéciaux visuels étonnants de réalisme orchestrés avec brio et inventivité par John P. Fulton, le technicien génial également derrière ceux de Sueurs froides, Les Dix Commandements, La Fiancée de Frankenstein, Le Loup-garou et L’Homme invisible.
• Impressionné dans son enfance par Quand la Marabunta gronde, Steven Spielberg lui rend hommage en mettant en scène des fourmis mortelles dans Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal.
• Avant Les Oiseaux, Les Dents de la mer, L’Horrible invasion, Razorback, Piranhas, Anaconda et Des Serpents dans l’avion, l’un des premiers films à aborder le thème fascinant des agressions animales.
• Un film que Martin Scorsese cite parmi ses « cent plaisirs coupables. »