• Le chapeau, le blouson, les pantalons et l’allure générale… Oui, vraiment, Indiana Jones doit l’essentiel de son apparence à Harry Steele, le héros du Secret des Incas incarné par Charlton Heston, justement le comédien que Steven Spielberg vénère dans son adolescence.
• La prestation de Charlton Heston, l’icône hollywoodienne des Dix Commandements, de Ben-Hur, La Soif du mal, Les 55 Jours de Pékin, Khartoum et La Planète des singes.
• Un partenariat qui marche, Charlton Heston et le réalisateur Jerry Hopper ayant également tourné ensemble Le Triomphe de Buffalo Bill et La Guerre privée du major Benson.
• Un succès dans les salles avec un million d’entrées en France.
• Une belle brochette de seconds rôles, dont surtout Thomas Mitchell (La Chevauchée fantastique, Le Train sifflera trois fois), Michael Pate (Le Grand McLintock !, Major Dundee) et Robert Young (Quatre de l’espionnage, Les Pionniers de la Western Union).
• Une aventure fertile en rebondissements écrite par Ranald MacDougall, par ailleurs scénariste d’immenses classiques tels Aventures en Birmanie, Le Grand alibi, Quand la Marabunta gronde, La Neige en deuil, Le Monde, la chair et le diable qu’il réalise aussi, Cléopâtre et Le Dernier train du Katanga.
• Le charme acidulé de Nicole Maurey, une comédienne française qui, après avoir tourné sous la direction de Sacha Guitry (Si Versailles m’était conté…) et Henri Verneuil (L’Ennemi public n°1), tente l’aventure américaine le temps de quelques films.