• Le personnage fascinant de Diabolik, un super-héros du crime né dans une bande dessinée italienne, elle-même très inspirée par le Fantômas français.
• Un rôle tenu par John Phillip Law, interprète de l’Ange de Barbarella, du Baron Rouge de Roger Corman, de Dr Justice, du marin Sinbad dans Le Voyage Fantastique de Sinbad, ainsi que de Michel Strogoff. Psychédélique et particulièrement représentatif de la fin des sixties, l’un des sommets de la carrière de Mario Bava, le maître de l’épouvante gothique, réalisateur du Masque du Démon, de Six Femmes pour l’Assassin, des Trois Visages de la Peur et de La Baie Sanglante.
• Dans le rôle de Lady Kant, à l’origine prévu pour Catherine Deneuve, la sublime Marisa Mell (La Guerre des gangs, Le Tueur à l’orchidée)
• La présence à la fois surprenante et réjouissante de Michel Piccoli (La Grande Bouffe, Le Trio Infernal, L’Étau) dans le rôle de Ginko, le policier ennemi juré de Diabolik.
• Un autre interprète de choix dans les habits du chef de la Mafia : Adolfo Celi, partenaire de Jean-Paul Belmondo dans L’Homme de Rio, parmi Mes Chers Amis de Mario Monicelli et méchant en chef d’Opération Tonnerre.
• La musique particulièrement enveloppante, riche et envoûtante d’Ennio Morricone, le compositeur attitré de Sergio Leone, également derrière les bandes originales du Clan des Siciliens, de Mon Nom est Personne, des Incorruptibles et du Professionnel.
• Des moyens considérables déployés par Dino De Laurentiis, le producteur de notamment Dune, Conan le Barbare, Les Trois Jours du Condor, Un Justicier dans la Ville, Orca et Le Bounty.
• Un excellent box-office France avec 604.000 entrées.