• L’une des oeuvres majeures de Tinto Brass, le maître incontesté du cinéma érotique italien, également auteur de Salon Kitty, Caligula, Cosi fan tutte, Vices et caprices et Miranda.
• La plastique généreuse et irréprochable de Stefania Sandrelli, une comédienne auparavant remarquée dans Divorce à l’italienne, 1900, Le Conformiste, Tendre voyou et Nous nous sommes tant aimés.
• Torride sur le plan érotique, La Clef n’en demeure pas moins, à l’instar d’un Malicia, un film maîtrisé de bout en bout, construit sur une histoire solide et déroulant dans un contexte historique.
• L’adaptation un roman du japonais Junichiro Tanizaki, un écrivain à l’origine de plusieurs classiques du cinéma de son pays, dont L’Étrange obsession, Miss Oyu et Le Roman de Genji.
• Pour tenir le rôle du mari de Stefania Sandrelli, Tinto Brass fait appel à Frank Finlay, un comédien britannique renommé et dont la filmographie inclut Le Pianiste, Les Oies sauvages, Les Trois mousquetaires et Lifeforce.
• La musique sensuelle et envoûtante d’Ennio Morricone, le grand compositeur des films de Sergio Leone, des Incorruptibles, des 8 Salopards, de Cinéma Paradiso ainsi que du Professionnel et du Clan des Siciliens.
• Des critiques très favorables : « Un film magnifique à l’image de sa somptueuse héroïne » (senscritique.com), « Une oeuvre authentiquement érotique, bien plus passionnante que les pseudo-audaces d’Emmanuelle » (La Saison Cinématographique).