• Toute la virtuosité, l’humour et l’imagination débridée dans l’érotisme de Tinto Brass, le maître italien du genre, auteur d’oeuvres tel que Salon Kitty, La Clef, Caligula, Vices et Caprices et Miranda.
• Si Tinto Brass s’appuie pour beaucoup sur le physique de ses interprètes, il n’en néglige pour pas pourtant la réalisation, la qualité des lumières et des décors, le rythme et la bande originale. L’oeuvre d’un vrai cinéaste qui donne au cinéma érotique ses lettres de noblesse.
• La plastique affolante et le charme ravageur de Deborah Caprioglio, une jeune femme que Tinto Brass découvre l’année précédente à l’affiche du spectacle théâtral « Lulu. »
• Dans le rôle de Rocco, le français Stéphane Ferrara, déjà vu dans Parole de flic et L’As des as ex champion de France des poids moyens de boxe en 1982.
• Dans les habits de Mme Colette, la mère maquerelle, en la personne de Martine Brochard, une française remarquée dans plusieurs films italiens dont Polices Parallèles, Les Religieuses du Saint-Archange, Mannaja – L’Homme à la hache et Murder Obsession.
• Deux autres grandes figures du ciném : John Steiner (Croc-blanc, Salon Kitty, Caligula, Ténèbres) et Paul Muller (Don Camillo en Russie, Les Amants d’outre-tombe, Les Nuits de Dracula).
• Un scénario que Tinto Brass écrit avec Bernardino Zapponi, une plume très recherchée dans le cinéma italien, collaborateur de Federico Fellini (La Cité des Femmes, Satyricon, Casanova), Dino Risi (Les Nouveaux Monstres, La Carrière d’une femme de chambre), Dario Argento (Profondo Rosso) et Luigi Comencini (Le Grand Embouteillage)