• Dans l’un de ses plus beaux rôles, l’unique Lee Marvin, un géant du western dont le tableau de chasse inclut L’Homme qui tua Liberty Valance, Les Comancheros, Les Professionnels, L’Expédition de Fort King, Cat Ballou, Sept Hommes à abattre, La Kermesse de l’Ouest…
• Le grand Jack Palance (Le Sorcier du Rio Grande, Les Professionnels, Shane – L’Homme des vallées perdues) étonnant dans un contre-emploi de meilleur ami philosophe et rieur.
• La réalisation tour à tour sensible et éclatante de William A. Fraker, un cinéaste surtout connu en tant que directeur de la photographie de Rosemary’s Baby, Bullitt, 1941 et WarGames.
• La présence aussi surprenante qu’attachante de Jeanne Moreau, la grande comédienne française pour sa deuxième incursion dans le western après Viva Maria ! cinq ans plus tôt.
• Une pléiade de visages familiers aux amateurs de western : Mitch Ryan (L’Homme des hautes plaines), Jim Davis (El Dorado), Bo Hopkins (La Horde Sauvage), Matt Clark (Will Penny, le solitaire), Billy Green Bush (Tom Horn)
• Un film qui, entre La Horde Sauvage de Sam Peckinpah et Impitoyable de Clint Eastwood, s’inscrit dans le mouvement crépusculaire du western des années 1960 à 90.
• La très belle et nostalgique bande originale de John Barry, le compositeur du thème central des James Bond, ainsi que de Vivre Libre, Macadam Cowboy, Le Jeu de la Mort, Out of Africa et Danse avec les loups.
• Un film si réputé que, en 2003, la chaîne américaine TNT en produit le remake avec Tom Selleck et Isabella Rossellini.
• « Un délicieux western crépusculaire », selon l’historien du cinéma Jean Tulard, « le western le plus attachant et le plus touchant que j’ai vu depuis longtemps », d’après le grand critique américain Roger Ebert.