Un justicier dans la ville 3 - BR

A peine débarqué à New York, Paul Kersey se rend chez son ami Charley, qui habite dans le quartier de Belmont. Sauvagement agressé par des voyous, ce dernier rend le dernier soupir dans les bras de Paul. La police arrive et l’arrête... Au commissariat, Shriker, le chef de la police, reconnaît en lui l’homme qui avait, il y a dix ans, «assaini» la ville de tous ses dealers et autres gangsters... Bien qu’aucune charge ne soit retenue contre Kersey, Shriker le fait mettre en cellule, où un certain Fraker, individu inquiétant, lui fait subir diverses humiliations... Grâce à l’intervention de Kathryn Davis, avocate qui intercède en sa faveur, Kersey est relâché...

BRONSON EST DE RETOUR ET ENCORE PLUS ARMÉ.

• Charles Bronson ("Un justicier dans la ville", "Le bagarreur", "Il était une fois dans l’ouest") retrouve pour la troisième et la dernière fois le réalisateur Michael Winner ("L’homme de la loi") pour la série des justiciers ("Un justicier dans la ville I et II") après avoir tourné avec lui des films comme "Le cercle noir", "Les collines de la terreur".
• Il est juge, juré et exécuteur, dans une suite encore plus brutale, violente, toute en démesure et encore plus expéditive que jamais produite par la société Cannon de Golan et Globus.
• Bronson toujours imperturbable face au crime dans une intrigue où la violence y est encore plus extrême contre des personnages parfaitement détestables.
• En pleine vague d’insécurité aux Etats-Unis, le réalisateur Michael Winner choisit de transformer les rues de New York en un véritable enfer sur terre, où des hordes de délinquants agressent les braves citoyens à tout bout de champ.
• De retour dans la ville qui a fait de lui un justicier solitaire, Bronson lutte contre les incivilités à coup de gros calibres.
• Infatigable, inaltérable, Charles Bronson s’impose comme le boss des héros virils de l’Amérique des années 80, de Chuck Norris à Sylvester Stallone, qui lui doivent tout.
• Délinquance, violence, sexe, drogue, et insécurité sont des thèmes toujours d’actualité pour un spectacle dont Charles Bronson se tire évidemment toujours bien.
• On retrouve Deborah Raffin vue dans "La sentinelle des maudits" du même réalisateur et Martin Balsam ("Little Big Man", "Les pirates du métro").