•Bien avant les REC, Le Labyrinthe de Pan, L’Orphelinat, Les Autres, Le Jour de la bête, L’Échine du diable et Les Yeux de Julia, le premier chef-d’oeuvre du cinéma fantastique espagnol.
• Un film de Narciso Ibanez Serrador qui, dans le genre, se distingue également avec Les Révoltés de l’An 2000.
• L’un des rôles les plus marquants de Lilli Palmer, la grande comédienne de Quatre de l’Espionnage d’Alfred Hitchcock, de Cape et Poignard de Fritz Lang et du Tonnerre de Dieu de Denys de la Patellière.
• Auprès de Lilli Palmer, trois icônes du cinéma fantastique et horrifique espagnol : Cristina Galbo (Le Massacre des morts-vivants), Maribel Martin (La Mariée Sanglante, La Cloche de l’enfer) et Maria Elena Arpon (La Révolte des morts-vivants).
• Par son immense succès en Espagne (pratiquement trois millions d’entrées), La Résidence y marque le véritable début de la production de film fantastique et d’horreur.
• Une oeuvre audacieuse et engagée qui, à l’aube des années 1970, défie la censure du régime franquiste en dépeignant la terrible réalité de l’Espagne toute entière sous couvert de révéler frustration, oppression et répression dans un pensionnat.
• Une reconnaissance unanime : « La Résidence est un film fascinant qui préfigure Suspiria de Dario Argento », selon Télé-Star, « Un très bon film à l’atmosphère troublante et mystérieuse » d’après senscritique.com, « chef-d’oeuvre vénéneux et sadien, entre giallo et gothique », écrit culturopoing. com, « Un film absolument essentiel dans le genre », dixit dvdclassik.com…
• Un film présenté dans sa version intégrale.