Un justicier dans la ville 2 - BR

Cinq ans après avoir nettoyé les rues de New York de sa faune la moins fréquentable, Paul Kersey mène une existence paisible à Los Angeles, auprès d’une nouvelle compagne, une journaliste. Mais, à nouveau, le destin le frappe de plein fouet. Enlevée et violée par une bande de voyous, sa fille se suicide. Accablé, il retrouve un à un ses agresseurs et, de sang froid, leur applique le châtiment suprême

• La suite directe de l’un des plus grands succès de l’année 1974.
• On ne change pas une équipe qui gagne avec, d’abord, les retrouvailles de deux des principaux artisans de la réussite d’Un Justicier dans la ville : l’acteur Charles Bronson et le réalisateur Michael Winner.
• Avec 1, 1 millions d’entrées France et un box-office américain de 17 M$, Un Justicier dans la ville 2 n’est pas loin d’égaler la performance du premier.
• Dans Un Justicier dans la ville 2, Charles Bronson donne la réplique à sa propre femme, Jill Ireland, qui fut aussi sa partenaire dans quinze autres films, dont Cosa Nostra, Le Passager de la pluie, Le Bagarreur, L’Évadé et Protection rapprochée.
• De solides seconds rôles tenus par Vincent Gardenia (Un Justicier dans la ville, La Petite boutique des horreurs), Anthony Franciosa (La Toilée d’araignée, Ténèbres) et J.D. Cannon (Luke la main froide, Scorpio).
• Comme Un Justicier dans la ville avec Jeff Goldblum, Un Justicier dans la ville 2 révèle un jeune comédien plein d’avenir, lui dans un rôle de voyou : Laurence Fishburne, futur interprète de la trilogie Matrix, de Mission : Impossible III, de La Mule et de la série Hannibal.
• Un Justicier dans la ville 2 inaugure une longue association entre Charles Bronson et le tandem de producteurs Menahem Golan/Yoram Globus, fondateurs de Cannon Group. Elle se poursuit notamment avec Le Justicier de New York, La Loi de Murphy, Le Messager de la mort et Kinjite, sujets tabous.